Il y a des actions, qui demandent peu…

Les sens du chat : L’ouïe, le toucher et le goût
L’ouïe du chat :
Grâce à l’ouïe du chat, ce dernier perçoit une gamme de sons beaucoup plus étendue que chez l’homme et le chien. Il capte notamment des sons notamment des sons beaucoup plus aigus. Dotée d’une acuité exceptionnelle, l’ouïe du chat lui permet de détecter d’éventuels dangers, de reconnaître des sons qui le concernent comme le bruit d’un paquet de croquettes et de localiser ses proies. Il traque souvent de petits animaux, qui se cachent facilement : sa seule vision ne lui suffit pas, mais le son émis par un petit rongeur attire son ouïe aussitôt.
Les oreilles du chat sont petites, mais extrêmement mobiles.
Grâce à son ouïe, le chat peut suivre le déplacement d’une proie uniquement à l’écoute, sans trahir sa présence. L’écartement de ses oreilles lu permet, par l’analyse de la différence de réception du son par chacune d’entre elles, un repérage précis de la source sonore, de l’ordre de qyelques centimètres.
Le goût du chat :
Les chats possèdent un sens du goût beaucoup moins développé et moins diversifié que le nôtre. Ses papilles gustatives sont situées sur le out, le fond et les côtés de la langue. Il semble peu réagir au sucré, mais différencie le salé, l’amer et l’acide.
Le toucher du chat :
Le corps des chats est entièrement recouvert de cellules tactiles, sensibles au moindre attouchement, à la moindre douleur. A la base de chaque poil, des cellules sensorielles communiquent au cerveau les sensations cutanées. Certains poils, plus raides, plus rigides que les autres, sont plus particulièrement réceptifs : Il s’agit des vibrisses.
Elles constituent notamment les moustaches, mais d’autres sont réparties sur le corps, à la pointes des coudes et à l’arrière des pattes, au dessus des coussinets. elles perçoivent grâce à de nombreuses terminaisons nerveuses, les mouvement de l’air et permettent au chat de sentir les objets sans les toucher ou de se diriger dans l’obscurité totale sans entrer en contact direct avec l’environnement.
De puissants muscles horripilateurs peuvent les orienter vers l’avant et les organiser en éventail.
Les zones dépilées de la truffe et coussinets des pattes sont les points les plus sensibles du chat. la truffe régit aux moindres sensations de chaud et de froid des aliments. les coussinets enregistrent la qualité du sol et même certains mouvement qui l’animent. Ils aident aussi à l’identification des objets; le chat les tâte légèrement avec la patte. Ils lui permettent même de percevoir certaines vibrations sonores.
Et le sixième sens alors ?
On comprend comment un chat perdu peut retrouver son maître s’il se trouve dans un endroit où il est déjà allé. l se repère aux bruits, au odeurs..Là où les choses se compliquent, c’est lorsque le chat retrouve ses maîtres dans un endroit où il s’est jamais rendu auparavant et qu’il parcourt une longue distance. Certains parlent de télépathie entre le maître et l’animal, d’autres comparent le mode de fonctionnement du chat à celui des oiseaux migrateurs, basé sur l’utilisation des ondes magnétiques. C’est le fameux sixième sens, et son mystère reste entier.
BF